C'est déjà la semaine du premier tour de l'élection présidentielle, et je ne sais pas vous, mais personnellement j'ai l'impression de ne pas l'avoir vue venir. Sans doute à cause d'une quasi-absence de campagne. On va pas se mentir, ça pue. « Il reste maintenant : la fasciste, le fascisateur, et un candidat de gauche. Normalement, c’est assez simple. » disait Lordon vendredi dernier.

Force est de constater que c'est pas gagné pour le candidat de gauche, même si on garde espoir. Dans ce merdier ambiant, histoire de se remettre les idées en ordre, je vous propose de (re)lire certains textes politiques que j'ai publiés ces derniers temps. Je n'ai pas la prétention d'avoir tout compris ou de vous dire quoi faire. Mais je me fais des réflexions, et j'aime bien les partager. Vu les retours, en général, pas mal de gens apprécient, donc je continue.

Ce mardi, on commence avec un texte écrit peu de temps après l'élection de Macron en 2017 et dans lequel j'expliquais à mes amis étrangers pourquoi, en France, nous n'étions pas tous ravis par cette élection… https://grisebouille.net/chers-amis-etrangers-voila-pourquoi-certains-dentre-nous-ne-sont-pas-ravis-par-lelection-de-macron/

On continue avec « Foule sentimentale », article inspiré par l'étonnant soutien de Souchon à Macron, alors même que Macron est une parfaite illustration du « on » de la chanson en question. Ah le mal qu'on peut nous faire… https://grisebouille.net/foule-sentimentale/

Aujourd'hui, un article pour prendre un peu de recul et, au-delà du cortège des propositions de « réformes », de « programmes », s'interroger : c'est quoi, en fait, à travers tout ça, notre rêve ? Le mien ? Le vôtre ? https://grisebouille.net/quel-est-votre-reve/

Pour finir, je ne peux pas terminer sans reposter l'article qui explique pourquoi, malgré des convictions autrement plus radicales, je vais voter Mélenchon dimanche, et pourquoi, peut-être, vous pourriez imaginer faire de même… #DimancheJeVoteMelenchon https://grisebouille.net/lhypothese-melenchon/

Merci de m'avoir lu, bonne chance à toutes et à tous, et à lundi, dans un paysage politique ou dans un autre complètement différent.