@Sylvhem Il n'y avait qu'une étiquette, mais la plupart du temps l'étiquette était telle qu'une partie se pliait le long de la tranche supérieure et dépassait à l'arrière (pas toujours, certaines marques faisaient des économies de papier et avait une étiquette qui ne se collait que devant).

Le but était double:

  1. ça renforçait la coque de la disquette en empêchant qu'elle ne se sépare en deux (rare, mais ça pouvait arriver si on manipulait ses disquettes comme une brute)

et

  1. les jeux d'étiquettes venaient en séries de plusieurs couleurs sur la partie haute (celle qui contourne la tranche supérieure). Ça permettait de marquer visuellement les disquettes (genre rouge: fichiers persos, jaune: fichiers travail) et de le repérer rapidement dans les boîtiers de rangement
Suivre

@kicou @Sylvhem@eldritch.cafe

À la base, ce tout petit emplacement indiquait « l'état » de la disquette.

En général, deux modes :

  • Accessible en écriture (write enable)
  • Protégée en écriture (write protect)

Bon nombre d'utilisateurs ajoutaient également les indices (1/18, 2/18,..) car il y avait très souvent besoins de plusieurs disquettes. On pouvait aussi ajouter des infos comme le mot de passe des archives ainsi que le format de compression. Ce qu'il faut comprendre c'est qu'à l'époque, il fallait un utilitaire pour compacter et découper les fichiers. En l'absence du web, l'utilisateur devait ensuite se débrouiller pour retrouver ce fichu outil ! Ça paraît dingue aujourd'hui, mais c'était comme ça 🤪​

Inscrivez-vous pour prendre part à la conversation
nanao

Comme le soleil, les machines ne se couchent jamais.